Un déchirement indescriptible

 Je pensais avoir parcouru toutes les strates de la douleur. Des déceptions amoureuses, aux douleurs de l’enfantement en passant par le départ vers l’au-delà d’êtres qui m’étaient chers. 

La mort de mon père demeure à ce jour la plus grande épreuve qu’il m’ait été donné de vivre. Une blessure profonde, un déchirement indescriptible, le sentiment de n’avoir pas pu œuvrer à suffisance. Une longue année vient de passer et le 18 de chaque mois sonnera toujours comme ce 18 octobre 2021.

Depuis que tu es parti, ton épouse n’a de cesse de poursuivre tes œuvres. Son professionnalisme se traduit par la bonne marche des affaires familiales. Tu peux dormir tranquille, « tes enfants » restent unis.

Que la lumière sans fin continue de briller sur toi Daddy et sur ceux de nos ancêtres qui t’ont précédé. La mort n’efface pas l’amour.

Mikaela Menga


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