Le journalisme, un vieux rêve que j’ai eu très tôt le privilège de réaliser. A 15 ans, je faisais déjà l’actualité des Lycées et Collèges tous les mercredis à radio FM105 avec des aînés. Être membre du Club Journal de mon collège et de l’Association des Jeunes Communicateurs de la ville d’Edea m’a en effet permis de côtoyer des confrères devenus des journalistes de renom, Martin Camus Mimb, Martial de Bissog pour ne citer que ceux là. Je leur suis reconnaissante.
A l’Université, mon chemin va croiser celui de Inna Kaya Abassi Hawaou qui m’entraîne dans la musique et la communication. A travers elle, je rencontre d’abord Blaise Testelin Nana et par la suite Serge Pouth, lequel me donne l’opportunité de faire le tout premier interwiew de Charlotte Dipanda.
Après cette expérience empirique,je décide de me présenter au concours de l’ecole de journalisme locale que je ne réussi malheureusement pas. Il me vient à l’idée d’aller tenter ma chance à l’Ecole Française des Attachés de Presse et des Professionnels de la Communication d’Abidjan (Section Afrique) où Serge Pacôme Aoulou de regrettée mémoire, éminent journaliste en Côte d’Ivoire est le directeur. Ce dernier, dirigera par ailleurs mon mémoire de fin de cycle qui va me permettre de me spécialiser en journalisme.
De retour au Cameroun, j’aurais l’opportunité de travailler dans quelques médias sans pour autant vivre de ce métier.
Ainsi depuis 3 ans, je suis de retour à mes anciens amours en me consacrant au blogging dans mes moments libres. J’éprouve dans l’écriture beaucoup d’épanouissement par ailleurs.
En cette Journée Mondiale de la Liberté de la Presse, je vous invite à vous joindre à moi et à l’Association des Blogueurs Camerounais dont je suis membre pour célébrer cet événement.
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